Le Point
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Au lendemain de la publication d'une étude confirmant la baisse générale du niveau d'orthographe en France, nous avons voulu tester nos élus.
Par Victoire Eyraud
Rhododendron. C’est le mot que nous avons dicté à quelques-uns de nos
députés, ardoise et craie à la main. Mais il semble qu’au lendemain de
la publication du premier baromètre Voltaire
l’exercice en effraie plus d’un… Les statistiques sont claires et
témoignent de la nette baisse du niveau d’orthographe des Français. Le Point
est donc allé tester pour vous les compétences de nos parlementaires.
Dans les couloirs clairsemés de l’Assemblée, rares sont ceux qui
acceptent de se prêter au jeu. Par peur de passer pour le mauvais élève,
l’ex-ministre de l’Éducation Benoît Hamon fuit la colle, suivi de
Gilbert Collard et de Franck Riester. Nos élus craindraient-ils
l’opprobre d’un « h » mal placé ? Possible.
Mais certains, rigolards, acceptent de retourner pour quelques secondes sur les bancs de l’école. Il y a les têtes de classe, comme Jacqueline Fraysse (députée des Hauts-de-Seine) ou encore Richard Ferrand (député du Finistère), qui tracent – presque – sans hésitation les lettres parfaitement ordonnées. Il y a le latiniste Julien Aubert (député du Vaucluse) qui ânonne avec docilité la première déclinaison - et se paye même le luxe de la deuxième. Il y a enfin les cancres, comme Marc-Philippe Daubresse et François Brottes (député de l’Isère), qui bafouillent, s’emmêlent et s’en sortent en poussant la chansonnette. Ceux-là feraient sans doute mieux d’imiter Emmanuel Macron, et de repartir, hilares, faire l’école buissonnière.
Mais certains, rigolards, acceptent de retourner pour quelques secondes sur les bancs de l’école. Il y a les têtes de classe, comme Jacqueline Fraysse (députée des Hauts-de-Seine) ou encore Richard Ferrand (député du Finistère), qui tracent – presque – sans hésitation les lettres parfaitement ordonnées. Il y a le latiniste Julien Aubert (député du Vaucluse) qui ânonne avec docilité la première déclinaison - et se paye même le luxe de la deuxième. Il y a enfin les cancres, comme Marc-Philippe Daubresse et François Brottes (député de l’Isère), qui bafouillent, s’emmêlent et s’en sortent en poussant la chansonnette. Ceux-là feraient sans doute mieux d’imiter Emmanuel Macron, et de repartir, hilares, faire l’école buissonnière.
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